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112) Rayé : „le souper“.

113) Rayé : „était“.

114) Rayé : „enfants“.

115) Rayé : „ne“ — „pas“.

116) Le cas No. 21 rappelle des actes semblables de coprolagnie dans les bordels chinois.

117)117) Rayé : „dans tous les“.

118) Le cas No. 22 décrit un fétichiste olfactif, qui, comme on sait, préfère les femmes rousses, dont l’odeur est particulièrement forte, ainsi que de Sade l’explique aussi dans ce cas.

119) Rayé : „délicieusement“.

120) Ce cas de coprolagnie rappelle beaucoup celui de Neri dans „l’Archivio delle psicopatie sessuali“, qui concerne un ouvrier, qui vinum supra corpus scortorum effusum defluens ore excipit. Cf. Krafft-Ebing 1. c. p. 124—125.

121) La forme de masochisme, qui est décrite dans le cas 24, la „suctio pedum“ est très fréquente aujourd’hui et est une des fantaisies favorites des masochistes, qui est réalisée le plus souvent. Cf. Krafft-Ebing 1. c. p. 120.

122) Ici de Sade a écrit avec la même plume et la même encre que le texte la note marginale : „dites cela mieux“ !  !

123) Le cas 25 représente cette étrange forme de fétichisme masochistique, qui préfère un défaut corporel ou social de la femme, comme par exemple Descarts n’aimait que les femmes qui louchaient. Cf. Bloch, Contributions à l’étiologie de la Psychopathia sexualis T. II. p. 174—177.

124) Rayé : „volupté“.

125) Rayé : „c’est“.

126) Dans le texte : „sens-froid“.

127) Rayé : „Augustine“.

128) Rayé : „ou quarante“.

129) Rayé : „le délire semblait ce soir-là s’être emparé de toutes les têtes“.

130) Rayé : „tout“.

131) Rayé : „l’homme“.

132) Rayé : „des“.

133) Rayé : „cette dégou“.

134) Dans le manuscrit : „Guérin“.