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et le scélérat qui le tourmente fait mettre sa table sous la roue, et va dîner là tous les jours jusqu’à ce que le patient soit expiré. — 115. Il pèle un jeune garçon, le frotte de miel, et le laisse ainsi dévorer aux mouches. 116. Il lui coupe le vit, les mamelles et le place sur un pieu où il est cloué par un pieu se soutenant par un autre pieu où il est cloué par la main, il le laisse ainsi mourir de sa belle mort. 117. Le même homme qui avait fait dîner Duclos avec ses chiens, fait dévorer un jeune garçon par un lion devant lui, en lui donnant une légère gaule pour se défendre ce qui n’anime que davantage la bête contre lui, il décharge quand tout est dévoré. 118. Il livre un jeune garçon à un cheval entier dressé à cela, qui l’encule et le tue, l’enfant est recouvert d’une peau de jument, et a le trou du cul frotté de foutre de jument. — Le même soir Giton est livré à des supplices, le duc, Curval, Hercule et Brise-cul le foutent sans pommade, on le fouette à tour de bras, ou lui arrache quatre dents, on lui coupe quatre doigts, toujours par quatre, parce que chacun officie et Durcet lui écrase une couille entre ses doigts. Augustine est fouettée par bouquets à tour de bras, son beau cul est mis en sang, le duc l’encule pendant que Curval lui coupe un doigt, puis Curval l’encule pendant que le duc la brûle sur les cuisses avec un fer rouge à 6 endroits, il lui coupe encore un doigt de la main à l’instant de la décharge de Curval, et malgré tout cela rien [ne] va pas moins ; [elle] couche encore avec le duc ; on casse un bras à Marie, on lui arrache les ongles des doigts et on les lui brûle. Cette même nuit Durcet et Curval descendent Adélaïde au caveau, aidés de Des-