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le dénouement. — „Ah parbleu,“ me dit-il, „je ne songe pas qu’un domestique attend dans mon antichambre un petit bijoux, que je viens de promettre d’envoyer à l’instant à son maître, permettez que je m’acquitte de ma parole, et dès que j’aurais fini, nous nous remettrons en besogne.“ Coupable d’un petit délit, que je venais de commettre à l’instigation de ce maudit valet, je vous laisse à penser comme ce propos me fit frémir, un moment je voulus le retenir, ensuite je fis réflexion, qu’il valait mieux faire bonne contenance et risquer le paquet, il ouvre le bureau, il cherche, il fouille, et ne trouvant point ce dont il a besoin, il lance sur moi des regards furieux. — „Coquine,“ me dit-il, „vous seule et mon valet, dont je suis sûr, êtes entrés ici, depuis tantôt, mon effet manque, il ne peut donc être pris, que par vous !“ — „Oh monsieur,“ lui dis-je en tremblant — „soyez certain que je suis incapable“ — „Allons, sacré Dieu,“ dit-il en colère, (or vous remarquerez, que sa culotte était toujours déboutonnée et son vit collé contre son ventre : cela seul aurait dû m’éclairer et m’empêcher d’être si inquiète, mais je ne voyais, je n’apercevais plus rien) „allons, bougresse, il faut que mon effet se trouve,“ il m’ordonne de me mettre nue, vingt fois je me jette à ses pieds pour le prier de m’épargner l’humiliation d’une telle recherche, rien ne l’émeut, rien ne l’attendrit, il arrache lui-même mes vêtements avec colère et dès que je suis nue, il fouille mes poches et comme vous croyez, il n’eut pas longtemps à trouver la boîte. „Ah, scélérate,“ me dit-il, „me voilà donc convaincu, bougresse, tu viens chez les gens pour les voler ?“ et appellant aussitôt son homme de confiance, „allons,“ lui dit-il, tout en