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ver, le vieux président de Saclanges offre mot à mot les singularités que ms. de Curval paraissait désirer ; on avait choisi pour lui tenir tête la doyenne de notre chapitre, c’était une grosse et grande fille d’environ 36 ans bourgeonnée, ivrognesse, jureuse et très poissarde et harangère, quoique d’ailleurs assez jolie. Le président arrive, on leur sert à souper, tous deux se soûlent, tous deux se mettent hors de raison, tous deux vomissent dans la bouche l’un de l’autre, tous deux avalent et se rendent mutuellement ce qu’ils se prêtent, ils tombent enfin dans les débris du souper, dans les saletés dont ils viennent d’arroser le parquet, alors on me détache, car ma camarade n’avait plus ni connaissance ni force, c’était pourtant le moment important du libertin, je le trouve à terre son vit drôle et dur comme une barre de fer, j’empoigne l’instrument, le président balbutie et jure il m’attire à lui, il suce ma bouche et décharge comme un taureau en se tournant et retournant et continuant de se vautrer dans ses [29]ordures. Cette même fille nous donna peu après le spectacle d’une fantaisie pour le moins aussi sale ; un gros moine, qui la payait fort bien, vint se placer à cheval sur son ventre, les cuisses de ma compagne étaient dans le plus grand écartement possible et fixées à de gros meubles pour qu’elles ne pussent varier, dans cette attitude on servit plusieurs mets sur le bas ventre de la fille à cru, et sales qu’ils fussent dans aucun plat, le bonhomme saisit des morceau avec sa main, les enfonce dans le con ouvert de sa dulcinée, les y tourne et retourne, et ne les mange qu’après qu’il les a complètement imprégné des sales que le vagin lui procure. — „Voilà une manière de dîner