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cuisses, devait l’enfiler à-la-fois par devant et par derrière ; les jeunes filles pendant ce tems-là devaient tour-à-tour s’accroupir sur son front, revenir baiser l’homme qui la foutait, et lui pisser sur le visage : la coquine perdit encore beaucoup de foutre pendant cette scène. Ce fut après, qu’elle m’appela ; j’étais au supplice, ceux de Tantale n’égalaient pas les miens, et c’est ce que desirait la putain. Bandes-tu, me dit-elle, ironiquement. Regarde-le, garce, lui répondis-je… et cette insolente réponse lui fit le plus grand plaisir. Eh bien ! me dit-elle, en se retournant, voilà mon cul, il est plein de foutre, viens-y joindre le tien, et l’impudique suça le cul d’un homme, pendant que je la sodomisais. Tous y passèrent, je maniais le derrière des filles en foutant, et mon sperme partit malgré moi. Elle me défendit de quitter son cul, puis ordonna aux hommes de me foutre, pour me faire rebander ; les filles, par ses ordres, ou me faisaient baiser leurs fesses, ou présentaient à Catherine leurs clitoris à sucer ; mon foutre ainsi coula trois fois de suite.

Faisons des cruautés maintenant, me dit la princesse ; je suis rendue, il me faut des