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soupirer et blasphémer en langue Russe, c’était son usage.

Une autre scène s’offrit ; chaque jeune fille fut branlée par elle à son tour ; mais elle ne leur gamahuchait que le trou du cul : les hommes chatouillaient le sien pendant ce tems-là. Ceci n’occupant à-la-fois que deux sujets, les dix autres faisaient devant ses yeux, ce qu’elle faisait elle-même ; tout varia bientôt. Elle s’enfonce un vit dans le con, et courbée sur celui qui la fout de cette manière, elle présente son cul à un autre, qui la sodomise à tour de reins ; elle branle un vit de droite et de gauche, sur les fesses de deux jeunes filles ; on fouette celui qui l’encule, et tout ce qui reste compose des grouppes autour d’elle. Les six hommes lui passèrent ainsi dans le con et dans le cul ; elle devient ensuite la maquerelle des six jeunes filles ; elle leur place à-la-fois des vits dans les deux routes du plaisir, suce les engins qui sortent de leur orifice, s’amuse à chatouiller le clitoris de ses filles et à les baiser sur la bouche pendant ce tems-là ; elle se couche sur le canapé, et se fait passer tous les hommes sur le corps : chacun en lui relevant les