Page:Sacher-Masoch - Sascha et Saschka (suivi de) La Mère de Dieu, 1886.djvu/154

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
145
LA MÈRE DE DIEU.

Elle le vit et leva sa main blanche pour le saluer. Sabadil, alors, tira de sa poitrine le mouchoir brodé de la jeune fille, dont il s’était emparé furtivement, et le secoua au-dessus de sa tête, comme une bannière, d’un geste vainqueur.