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que j’ai saisie avec empressement. Ce court tableau est tracé par la vérité, et joint à celui de votre voyage, il forme un agréable contraste avec tant de scènes d’horreur. Je vous écris cette lettre en quelque sorte en commun ; vous êtes connu dans le château de Loewenstein comme si vous y aviez long-temps habité, et la Comtesse et le Commandeur ont pour vous, non-seulement de l’estime, mais de l’amitié, et ce dernier sentiment, passez-moi cette vanité, est dû à celle dont vous m’honorez. Adieu, mon respectable ami, conservez-moi vos bontés.

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