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LES MALHEURS DE SOPHIE.

gner ; elle se promenait autour de la table, le regardant d’un air joyeux, se frottait les mains et répétait :

« Dieu ! que j’ai de l’esprit ! que j’ai de l’esprit ! » Enfin Paul et les amies arrivèrent. Sophie


courut au-devant d’eux, les embrassa tous et les emmena bien vite dans le petit salon pour leur montrer ses belles choses. La boîte à couleurs les attrapa d’abord comme elle avait attrapé Sophie et sa bonne. Ils trouvèrent le thé