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la position si heureuse de Jean, fit quelques réflexions qui auraient porté de bons fruits si Jeannot avait eu plus de foi et de courage.

Mais quand il sortit de l’hôpital, et qu’il se traîna, pâle et faible, chez ses maîtres, Boissec le reçut avec des injures et des menaces.

Jeannot.

Que me reprochez-vous donc, monsieur Boissec, que vous n’ayez fait vous-même ?