quelques notions, quelle sorte d’usage en feriez-vous ? » il interroge encore : « Comment vous en serviriez-vous ? » Et il redouble : « À quel emploi les destineriez-vous ? » Il ne suffit pas au Christ de constater : « Mon effort a été vain. » Il continue gravement : « Et je n’ai pu réussir. » S’il gémit sur sa responsabilité, après avoir soupiré : « Combien j’en éprouve le poids ! » il pleure immédiatement : « Et jusqu’à quel point elle me pèse !… » À chaque instant le pléonasme patauge, enfantin : « Allez-vous mentir devant moi pour m’accabler de preuves dénuées de vérité ? » L’incohérence n’est pas rare : « Jamais je n’y consentirai en ce moment. » Ni l’incorrection la plus ignorante ou la plus étourdie : « Ils nous ont dit qu’il ne fallait pas convoiter le bien d’autrui, se montrer charitables, ne pas tenir aux choses. »
Partout flottent des ombres d’idées banales et l’expression, qui n’est pas plus vivante, ne parvient pas à saisir un seul de ces fantômes.
Le nom l’indique et les « œuvres » le prouvent, le naturisme est un naturalisme auquel on a coupé quelque chose. Quoi ? Voilà qui est difficile à dire en une autre langue que le latin