Page:Routhier - Portraits et Pastels Littéraires (sous le pseudonyme Jean Piquefort), 1873.djvu/7

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dont se couvrent quelque fois des écri¬ vains très-bien doués d’ailleurs. Nous ferons la pairt du talent avec toute l’im- parüaüfé qui: doit difitiùKuerila^vrMe. cri¬ tique, m^s nôüs nW^lièroné pas qu,e l’écrivain a besoin qu’on lui i le des défauts, plutôt que sesqualités, qh’ilréus- sit toujours à découvrir lui-même. NoUs Causerons et npns. enseignerons. L’enseignement seul deviendrait ennuy;- eu!x; si r on n’y mêlcdt un graindecâuse- rië. Aux talents qui méritent des éloges et des piqûres, nous distribuerons: des deux dans* une mesura aussi équitabifc que possible. Pas de faussé réserve, pas de 'sous-entendus : nous appellerons les choses par tours ;noms., » Le >inaigçetot le. miel yiçhdnônt lhm apr.èsî îauirq^ ;• jamais, mêlés. ‘C’est dire qùe-nous h’appâ/teb’drià pas à l'Opinion PubliqutyQ§ ces,deux breu¬ vages vont toujours enseruble. /d:>uv: > Un pseudonyme, M, Placide LMne, s’est ;aussï essayé dans la critique.jljtt#- raire* Maisil n’ayait pasmêmeLjkdéé de la chose et ses,silhouettes, ne sont pas plus dé la critique que M. Fabre u’,est un homme d’état,ourM. Dessaulles un théo¬ logien. Cependant^ il ne manquait pas d’un certain chic et il aurait réussi à amusqr quelques; lecteurs que nous n’en sérions