Page:Routhier - Portraits et Pastels Littéraires (sous le pseudonyme Jean Piquefort), 1873.djvu/36

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— 36 — u la vertu y sont constamment viei- 11\t-ma 6*#{ ïi :\tsi l^àtfteur canadien a trop voulu mon¬ trer la sainte, et il a trop négligé laféifr nie, c’est-à-dire ce côté naturel par leffâSél' Marie dei ïIncarnation seratj&chàit^Ià mvr& ' té récit de sé'tf râvi^fcetits et se:s ëxtàsêè^îfewêtM ttèü ’temt; Mate celui dé ses oeuvres «a pour nous plus lie; charme ëf à*éàificâtiOn. I * rov .^ihnoo! 3’auràis affaire bien d’autres observa¬ tions, touchant a^ ^fond dé l-oùvràgérj mais je me hâte et j’arrive àfexameoda lÿjfè'ftifcli ^T. .'.-oimlicri srrijœ si\ ranoxe J’ai déjà dit qu’elle est moins impar {•faite que celle des Légendes. "Le style ieët gphis grave, plus sobre éfc moins esÇlâVé de rimagination. Mais héïà^t-la vanité de Péorlvain s% montré encore, "et il y a des pages qui semblent bien ^plutôt faites pour là glorification de Pauteür que pour celle'.de l’hêrôinei1 Il ÿ a des phrases Où réGriVaifi-ritoble dire : idf ce tfost pas là i^inié, rilàisrmoi qo’il fautront^aiplèri Les images, tes fières de toutes ^rtes y sontrépàndues avec profuston.La période ÿmmiîôiïw^éà^^e^prêtéè7et^êâ^ pèséeyêtTbtf^ûaii q^ilaihebéur ^deoce stylé simple et pbécîs qüioonvieût itMs ti6ïrè.^^;n r>i oup ^0*0 ; ahma rA anab '* '-h -hV:r'v?q V;;\tri il > ysotor ->