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contré votre mère ; ou, si elle était loin de vous, dans un monde meilleur, peut-être, vous vous êtes souvenu d’elle et de ses enseignements.
Sa vue ou son souvenir ont suffi pour vous faire regretter votre chute.
Mais, hélas ! peut-être êtes-vous de ceux qui n’ont pas eu de mère digne de ce nom, et qui n’ont pas reçu les salutaires leçons de l’amour maternel.
Alors il y a une autre mère qui s’est certainement trouvée sur votre chemin, et dont la rencontre a dû vous faire rentrer en vous-même : c’est l’Église.
Elle vous a appelés pour vous consoler et vous donner de