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L’AMOUR.


Quittez, Muses, quittez ce désert trop stérile,
Venez de vos appas enchanter l’univers ;
Après avoir orne mille climats divers,
Que l’empire des Lys soit notre heureux asyle,
Au milieu des beaux arts puissiez-vous y briller
De votre plus vive lumière :
Un regne glorieux vous y sera trouver
Des amans dignes de vous plaire,
Et des héros à célébrer.


FIN DU PROLOGUE.