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AVIS DE L’ÉDITEUR.
<[u il iil à cette même époque, et qui était relative à son premier discours. Celte dernière réponse est adressée à M. Cat, académicien de Dijon, comme on le peut voir dans l’Avis de V éditeur sur la réponse à M, Bardes^ que donne M. Musset-Pathay dans son édi- tion des œuvres de Rousseau. Voici ce que cet avis nous apprend à ce sujet: « C’était la seule réponse adressée à M. Bordes, qui fit en réplique un second discours sur lequel Rousseau garda le silence ; mais il se vit obligé de reprendre encore une fois la plume par égard pour Tacadémie de Dijon que M. le Cat mit en jeu en prenant le titre de membre de cette académie. »
Nous concluons donc en observant que si Rousseau garda de fait le silence sur ce second discours de M. dé Bordes, il n’en eut pas moins Tintention, au premier moment, de lui adresser une seconde réponse, puisqu’il composa même, à cet effet, la préface que voici.
G. Str.-M,
