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AVANT-PROPOS DE L’EDITEUR

Notre appréciation des fragments: smvaNits-âelbttilepriitoip^ieinenl ^sur dau possages des Cenfessions.

Le prenrier se trouve dans le livre ; naivième :

« Des divers outh^ que j*ay<»s^ sur le chantier, ftKms «diU fions- seau, celui que je méditois dqpuis kmgteizips, d(«tije.in*0CGi^is avec le {dus de goât, îtuquel je voulois travailler! touie ina vie, et -qui devoit, selon nioi, mettre le sceau à ma répntatiou.étatrGiies^Jm^- ’ ttUiâns politiques. Il y avoit trdze ou quatorze ans que j*en >avois conçu la première idée, lorsqu’étant à*V«M8e,:j’avo!S eu (pielque occasion de remarquer les défauts de ce gouvemeaieût si vanté. Depuis loi*s, mes vues s’étoient beaucoup étendues par l’étude ; liisto- rtque de la morale. J’avois vu que tout t^noit mdioalemeKt à la politique, et quef, de quelque façon qu’on s’y prît, aucun peuple ne seroit jamais que ce que la nature de son gouvernement le ièroit être ; ainsi cette grande question du meiâeur gouvernement possible me paroissoit se réduire à cdle-ci : Quelle est la nature du gouver- nement propre à former le peuple le plus tertueux, le plus éclairé, le plus sage, ’ le meill^r enfin, à prendre ce mot dans son plus graïKl sens ? J’avois cru voir que cette cpiestion tenoit de bien près à ’îette autre-ci, si même elle en éloil différente : Quel est le gou-