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Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle (I, 340 ; I, 316).
Cest honneur, ceste loy sont noms pleins d’imposture (I, 384 ; I, 366).[1]
Celle de qui l’amour veinquit la fantasie (I, 341 ; I, 317).
Heureux le Chevalier que la mort nous desrobe (I, 342 ; I, 318).
Lettre, je te reçoy, que ma Deesse en terre (ibid. ; ibid.).
Lettre, de mon ardeur veritable interprète (I, 343 ; I, 319).
Le soir qu’Amour vous fist en la salle descendre (I, 343 ; I, 319).
Je voy mille beautez, et si n’en voy pas une (I, 344 ; I, 320).
Ces cheveux, ces liens dont mon cœur tu enlaces (ibid. ; ibid.).
Voulant tuer le feu dont la chaleur me cuit (I, 382 ; I, 362).
Je suis esmerveillé que mes pensers ne sont (I, 345 ; I, 321).
Belle gorge d’albastre, et vous chaste poictrine (ibid. ; ibid.).
Lors que le Ciel te fist, il rompit la modelle (I, 346 ; I, 322).
Je te voulois nommer pour Helene, Ortygie (I, 347 ; ibid.).
J’errois en mon jardin, quand au bout d’une allée (ibid. ; I, 323).
De Myrthe et de Laurier fueille à fueille enserrez (I, 348 ; ibid.).
Seule sans compagnie en une grande salle (ibid. ; I, 324).
Qu’il me soit arraché des tetins de sa mère (I, 349 ; ibid.).
Passant dessus la tombe où ta moitié repose (ibid ; I, 325).[2]
Je ne serois marry, si tu comptois ma peine (I, 352 ; I, 327).
Mon ame mille fois m’a predit mon dommage (I, 353 ; I, 328).
Il ne faut s’esbahir, disoient ces bons vieillars (ibid. ; ibid.).
Ah, belle liberté, qui me servois d’escorte (I, 354 ; I, 329).
Tes frères les jumeaux, qui ce mois verdureux (ibid. ; ibid.).
Ny ta simplicité, ny ta bonne nature (I, 355 ; I, 330).
Ceste fleur de Vertu, pour qui cent mille larmes (ibid. ; ibid.).
Afin que ton honneur coule parmy la plaine (I, 357 ; I, 331).
Ainsi que ceste eau coule et s’enfuyt parmy l’herbe (ibid. ; ibid.).
Il ne suffit de boire en l’eau que j’ay sacrée (I, 361 ; I, 336).
Adieu, cruelle, adieu, je te suis ennuyeux (ibid. ; ibid.).
Je m’enfuy du combat, ma bataille est desfaite (I, 364 ; I, 339).[3]
Je chantois ces Sonets, amoureux d’une Heleine (I, 366 ; I, 340).

g. Les Amours diverses. Outre 12 pièces parues antérieurement de 1552 à 1571, qu’on trouvera en notes avec leur

  1. Var. de l’éd. M.-L. : La constance et l’honneur sont noms pleins d’imposture
  2. Var. des éd. Bl. et M.-L. : Passant dessus la tombe où Lucrece repose
  3. Ibid. : Je m’enfuy du combat, mon armée est desfaite