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Quand en pleurant ma Maîtresse s’ennuye.[1]
Quand tu nasquis, Vaumeny, tous les cieux (V, 341 ; II, 30).[2]
Douce beauté à qui je doy la vie (I, 48 ; I, 40).[3]
Douce beauté qui me tenez le cœur (I, 49 ; I, 40).
Le premier jour du mois de May, Madame (I, 53 ; I, 44).
La renommée allant de place en place.[4]
On dit qu’Amour fut au commencement (I, 421 ; VI, 31).
Si j’avois un riche thresor (II, 369 ; II, 454).
O Seigneur Dieu, nous te loüons (V, 255 ; V, 443).
1567 (janvier). — Une Ode intitulée Chant au Roy, qui fut récitée avant la représentation de la comédie du Brave d’Ant. de Baïf :
Come un lis à la rose blanche[5]
1567 (avril). — Deuxième édition collective des Œuvres.[6]
Elle contenait seize pièces nouvelles :
Au tome I (les Amours en deux livres) :
Elle contenait seize pièces nouvelles :
Au tome I (les Amours en deux livres) :
Las ! je ne veux ni ne me puis desfaire (I, 414 ; VI, 24).[7]
Certes mon œil fut trop aventureux (I, 92 ; I, 80).
Fameux Ulysse, honneur de tous les Grecs (I, 224 ; I, 200).
- ↑ Réédité par moi dans la Rev. d’Hist. litt. de juillet 1902, p. 444. Voir ci-après l’Appendice.
- ↑ Var. de l’éd. M.-L. : Quand tu nasquis, Edinton, tous les cieux
- ↑ Var. de l’éd. M.-L. : Chere maistresse, à qui je doy la vie. — Ce sonnet et le suivant ont été placés à la fin du Second livre des Amours en 1567, 1571 et 1573, et insérés dans le Premier livre des Amours en 1578, bien qu’ils ne s’adressassent en 1565 ni à Marie, ni à Cassandre, mais le premier à Isabeau de Limeuil et le second à une dame inconnue. Il ne faut tenir aucun compte de la note 2 de Bl. à la p. 48 de son tome I ; quant aux notes i de la même page et de la p. 49, elles sont de Belleau et non de Muret.
- ↑ Réédité par moi dans la Revue d’Hist. litt. de juillet 1902, p. 445. Voir ci-après l’Appendice.
- ↑ Cette ode, qu’on chercherait vainement dans les éditions collectives de Ronsard, a été réimprimée dans le Bulletin du Bouquiniste (communication d’E. Tricotel du 2 janvier 1872) ; par Marty-Laveaux dans la Langue de la Pléiade, tome II, Appendice, p. 417 ; par moi dans la Rev. d’Hist. litt. de juillet 1902, p. 446, Voir ci-après l’Appendice.
- ↑ Paris, G. Buon, 6 tomes en 4 vol. in-4o. — B. de l’Arsenal, 6484 B. L. L’achevé d’imprimer est du 4 avril 1567.
- ↑ Marty-Laveaux a répété ce sonnet, sans aucune raison, à la p. 382 de son tome VI.