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Paissez, douce brebis, paissez cette herbe tendre (IV, 45 ; III, 394).
Fictes, qui n’es point feint aux enfans de la Muse (IV, 239 ; IV, 26).
Je chante ici, de Bray, les antiques faits d’armes (III, 425 ; IV, 77).
Douce maitresse, touche (I, 225 ; I, 201).
Deux freres pastoureaux qui avoient pris naissance (IV, 92 ; III, 438).
Quand ce beau printemps Je voy (I, 220 ; I, 196).
Royne, qui de vertus passes Artemisie (III, 369 ; III, 287).
Lhuillier, si nous perdons cette belle princesse (VI, 21 ; V, 15).
Comme un beau pré dépouillé de ses fleurs (VI, 24 ; V, 17).[1]
Si le Ciel qui la foi des amans favorise (IV, 255 ; IV, 43).
En imitant des grands Roys l’excellence (IV, 194 ; VI, 177).
Pallas est souvent d’Homere (II, 206 ; II, 71).
Douce maitresse à qui j’ai dedié (IV, 367 ; IV, 49).[2]
De vous, et de fortune, et de moy je me deuls (IV, 263 ; IV,51).[3]
J’avoy tousjours et craint et voulu tout ensemble (IV, 268 ; IV, 55).[4]
Bien que l’obéissance et l’amour que je doy (IV, 274 ; IV, 60).
Ou soit que les marets de l’Egypte feconde (III, 389 ; III, 304).

Contenu du Troisième livre (dédié à M. de Castelnau, Sgr de Mauvissiere) :

Je n’aime point ces noms ambitieux (V, 347 ; VI, 265).
L’autre jour que j’estois assis aupres de vous (IV, 220 ; IV, 8).[5]
Oyant un jour redoubler mes soupirs (IV, 379 ; IV, 98).
Genevre, je te prie, escoute par pitié (IV, 224 ; IV, 12).
Le jour que vostre voile aux vagues se courba (VI, 10 ; V, 4).

  1. Élégie publiée dès 1561, au moment du retour de Marie Stuart en Écosse. V. ci-dessus, p. 34.
  2. Cette élégie commence dans l’éd. M.-L. par ce vers : Madame, oyez le mal que je reçoy, — c’est-à-dire par une variante du 5e vers de la rédaction primitive : Oyez, helas, le mal que je reçoy. Les quatre premiers vers furent supprimés en 1578. Blanchemain, trompé par la différence du début, a publié en son tome IV, p. 401, comme étant une pièce à part, la variante de 1578, alors que dans le même tome, p. 367, se trouve déjà la rédaction primitive ; il n’y a donc pas à tenir compte de sa note de la p. 401.
  3. Var. de l’éd. M.-L. : De moy seul ennemy, voire traistre je suis
  4. Var. de l’éd. M.-L. : J’ay cherché mille fois, et fuy tout ensemble
  5. Var. de l’éd. M.-L. : Hier quand bouche à bouche assis auprès de vous