Chere Vesper, lumiere dorée (II, 274 ; II, 345).
Je suis homme né pour mourir (II, 385 ; II, 368).
Belleau, s’il est loisible aus nouveaus d’inventer (II, 293 ; II, 368).
Cinq jours sont ja passés, Denizot mon amy (IV, 261 ; II, 369).
Pasteur il ne faut que tu viennes (VI, 402 ; II, 53).[1]
Je n’ay de vache la figure (VI, 402 ; ibid.).
Je suis la vache de Myron (VI, 402 ; ibid.).
Pourquoy, Myron, m’as tu fait stable (VI, 403 ; ibid.).
Si un veau m’avise, il crira (VI, 403 ; ibid.).
Bien que sur ce pilier je sois (VI, 403 ; II, 54).
Un Tan en voyant la figure (VI, 403 ; ibid.).
Icy Myron me tient serrée (VI, 403 ; ibid.).
Veau, pourquoi viens tu seulet (VI, 403 ; ibid.).
Pourquoi esse que tu m’enserres (VI, 403 ; ibid.).
Pourveu qu’on ne mette la main (VI, 404 ; ibid.).
Un pasteur m’avoit oubliée.[2]
Si Myron mes pieds ne detache (VI, 404 ; II, 55).
Le volume se terminait par quatre « gayetez » déjà parues dans les Folastries de 1553, et quelques pièces d’amis dédiées à Ronsard (l’Heure, la Cerise, l’Escargot de R. Belleau ; le Ciron de G. Aubert).
Mon Odet, mon Prelat, mon seigneur, mon confort (VI, 275 ; VI, 185).
Muses, quand nous voudrons les loüenges chanter (V, 64 ; IV, 185).[4]
Un plus sçavant que moy, et plus chery des Cieux (V, 106 ; IV, 203).
Je veux, mon Mecenas, te bastir à l’exemple (VI, 301 ; VI, 205).
- ↑ Ce quatrain et les douze suivants étaient dédiés à François de Revergat et avaient pour titre : Traduction de quelques Epigrammes grecs sur la Jenisse d’ærain de Myron excellentement bien gravée.
- ↑ Ce quatrain, supprimé par Ronsard dès sa première édition collective (1560), n’a reparu qu’en juin 1903 dans la Rev. Renaiss., p. 212. V. ci-après l’Appendice.
- ↑ Paris, André Wechel, in-4o. Même privilège que pour les recueils précédents. Pas d’achever d’imprimer. — B. N., Rés. Ye 489.
- ↑ Var. des éd. Bl. et M.-L. : Muses, quand nous voudrons des Dieux nous souvenir