Gentil Rossignol passager (II, 420 ; VI, 81).
Sus, dépan. Charbonnier, de son croc ta musette (VI, 239 ; IV, 65).[1]
Nous t’estimons une Déesse (VI, 315 ; VI, 221).
Qui ne te chanteroit. Frélon (VI, 351 ; II, 44).
Puis que de moi tu as en don (VI, 322 ; VI, 226).
Corydon, verse sans fin (II, 391 ; VI, 55).
Pour boire dessus l’herbe tendre (II, 161 ; II, 212).
Jay l’esprit tout ennuyé (II, 162 ; II 213).
Je t’ai offencée, maistresse (VI, 401 ; VI, 365).
É mon Dieu que je te hai, Somme (II, 392 ; VI, 56).
É laisse moi dormir, Amour (II, 393 ; VI, 56).
Escoute, du Bellai, ou les Muses ont peur (II, 170 ; II, 225).
Si mes vers semblent doux, s’ils ont eu ce bon heur (IV, 349 ; II, 226).
La Nature a donné des cornes aus Toreaus (VI, 271 ; II, 227).
Nous vivons, mon Panjas, une vie sans vie (IV, 305 ; II, 228).
Qu’on me dresse un autel, que nonper on m’ameine (VI, 269 ; II, 216).[2]
Lors que ta mère estoit preste à gésir de toi (VI, 270 ; II, 217).
Du malheur de recevoir (II, 164 ; II, 214).
Quelques pièces déjà parues dans le Bocage de 1550 et dans les Folastries de 1553 terminaient le volume.
Naguiere chanter je voulois (II, 273 ; II, 344).
Les uns chanteront le Fresne (VI, 181 ; V, 166).
Du jour que je fus amoureus (I, 131 ; I, 118).[4]
Au[s] faits d’Amour Diotime certaine (IV, 373 ; IV, 87).
Pein moi, Janet, pein moi je te suplie (I, 132 ; I, 119).
Tu me fais mourir de me dire (II, 289 ; II, 363).
Celui qui n’ayme est malheureux (II, 290 ; II, 364).
Jane, en te baisant tu me dis (II, 291 ; II, 365).
- ↑ Var. de l’éd. M.-L. : Sus, dépan, mon Daurat,…
- ↑ Pièce déjà parue à la fin des Gayetez d’Oliv. de Magny (achevé d’imprimer le 23 juin 1554). Cf. la réimpr. de ces Gayetez par Blanchemain (Turin, Gay, 1869, pp. 113 et 120).
- ↑ Paris, Corrozet. In-8° de 54 ff. chiffrés. Privilège du 4 janvier 1553 (1554&thinsp.n. st.) ; achevé d’imprimer le 22 novembre 1554. Le titre porte le millésime antidaté 1555. — B. N., Rés, p Ye 123.
- ↑ Var. de l’éd. Bl. : Depuis que je suis amoureux