Page:Ronsard - Tableau chronologique des œuvres, Laumonier, 1911.djvu/34

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Durant l’Esté que j’ahanne (Ibid.)
De ma brebis ecorchée (Ibid.)
Ecoute anfançon de Silene (VI, 410 ; II, 58).
Si de ma tramblante gaule (VI, 411 ; II, 59).
Si je puis ma jeunesse folle (M.-L. VI, 363).
Si tôt ma doucette Isabeau (II, 485 ; VI, 363).
Si d’un mort qui pourri repose (VII, 218 ; VI, 253).
Qu’oi-je dans ce tombeau resonner ? Une lyre (VII, 247 ; V, 316).
Dites bas de bonnes paroles (VII, 238 ; V, 307).
Les rochers Capharés, où l’embusche traitresse (VII, 267 ; VI, 247).[1]
Quelle est cette déesse empreinte en cet ivoire (VII, 218 ; V, 290).
Tandis que tu vivois, Mernable (VII, 260 ; V, 328).
Vous qui sans foi errés à l’aventure (VI, 178 ; V, 163).
Que sert aus hommes de suivir (M.-L. VI, 364).
Amour, quiconque ait dit que le ciel fut ton pere (I, 160 ; I, 143).
Beauté dont la douceur pourroit vaincre les Rois (I, 160 ; I, 143).
Amour qui si long tans en peine m’as tenu (I, 161 ; I, 144).[2]
Je puisse donc mourir si encores j’arreste (I, 162 ; I, 144).[3]
Ah, que malheureus est celui-là qui s’empestre (I, 162 ; I, 145).[4]
Bien que ton œil me face une dure escarmouche (I, 212 ; I, 189).
Que ne sui je insensible, ou que n’est mon visage (I, 166 ; I, 148).
Morfée, s’il te plaist de me representer (I, 167 ; I, 148).[5]
Ecumiere Venus, roine en Cypre puissante (I, 168 ; I, 149).
Cache pour cette nuit ta corne, bonne Lune (I, 168 ; I, 149).
Le Jeu, la Grace, et les freres jumeaus (I, 124 ; I, 109).
Cesse tes pleurs, mon livre, il n’est pas ordonné (I, 231 ; I, 207).
Mon œil, mon cœur, ma Cassandre, ma vie (I, 124 ; I, 110).
Je veus, mon cher Pascal, que tu n’ignores point (IV, 296 ; IV, 95).[6]

  1. Cette épitaphe parut d’abord à la fin d’un volume posthume de Hugues Salel, Les unzieme et douzieme livre de l’Iliade d’Homere, qui fut publié au début de 1554, en vertu d’un privilège octroyé le 25 juillet 1553 (Paris, Sertenas, in-8o). Voir à ce sujet J. Favre, thèse sur O. de Magny, pp. 45 à 50, et E. Courbet, Notice sur les Odes d’O. de Magny, p. xxiii, note 1.
  2. Var. de M.-L : Amour, qui dés jeunesse en ton camp m’as tenu
  3. Var. de Bl. et de M.-L. : Fuyon, mon cœur, fuyon : que mon pied ne s’arreste
  4. Var. de l’éd. M.-L. : L’amant est une beste, et beste est qui s’empestre
  5. Var. de M.-L. : Morfée, si en songe il te plaist présenter
  6. Var. de Bl. et de M.-L. : Je veux, mon cher Belleau,…