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Seconde Aglaure, avienne que l’envie (I, 103 ; I, 90).[1]
En nul endroyt, comme a chanté Virgile (I, 104 ; I, 91).
Son chef est d’or, son front est un tableau (I, 104 ; I, 91).
Moins que devant m’agitoit le vouloyr (M.-L. VI, 357).
Bien que les champz, les fleuves et les lieux (I, 105 ; I, 92).
Il faisoyt chault, et le somme coulant (I, 106 ; I, 92).
Ces flotz jumeaulx de laict bien espoissi (I, 106 ; I, 93).
Quelle langueur ce beau front deshonore (I, 106 ; I, 93).
D’un Ocëan où le jour se limite (I, 107 ; I, 94).[2]
Au plus profond de ma poitrine morte (I, 108 ; I, 94).
Ren moy mon cuœur, ren moy mon cuœur, pillarde (I, 108 ; I,95).
Quand le grand œil dans les Jumeaux arrive (I, 109 ; I, 95).
Les vers d’Homere entreleus d’aventure (I, 110 ; I, 96).
Fauche, Garçon, d’une main pilleresse (I, 109 ; I, 96).[3]
Un sot Vulcan ma Cyprine faschoit (I, 111 ; I, 97).
Mon Dieu, quel dueil et quelles larmes sainctes (I, 112 ; I, 97).[4]
Le feu jumeau de ma dame brusloit (I, 112 ; I, 98).
Celuy qui fit le monde façonné (I, 113 ; I, 98).
Que Gastine ait tout le chef jaunissant (V, 318 ; II, 22).
Jeune Herculin, qui des le ventre saint (V, 318 ; II, 22).[5]
Comme on souloit si plus on ne me blasme (I, 114 ; I, 99).
Brave Aquilon, horreur de la Scythie (I, 114 ; I, 99).[6]
Sœur de Pâris, la fille au roy d’Asie (I, 115 ; I, 100).
L’or crespelu que d’autant plus j’honore (I, 115 ; I, 100).
Si blond, si beau comme est une toison (I, 117 ; I, 102).
D’une vapeur enclose sous la terre (I, 117 ; I, 102).
Si hors du cep où je suis arresté (I, 122 ; I, 108).
Veu la douleur qui doucement me lime (I, 123 ; I, 108).
J’alloy roullant ces larmes en mes yeux (I, 137 ; I, 124).
Las, je n’eusse jamais pensé (I, 81 ; I, 70).[7]
Petite Nymphe folastre (I, 377 ; I, 354).


Contenu du Cinqiesme livre des Odes :

Toute royauté qui dédaigne.

  1. Var. de l’éd. M.-L. : Mechante Aglaure, ame pleine d’envie
  2. Var. des éd. Bl. et M.-L. : Du bord d’Espagne où le jour se limite
  3. Var. de l’éd. M.-L. : Page suy moy : par l’herbe plus espesse
  4. Var. de M.-L. : Amour, quel dueil…
  5. Ce sonnet et le précédent ont été écrits pour la naissance du fils aîné de Jeanne d’Albret, né le 21 septembre 1550, et non pas, comme le dit Blanchemain, pour le futur Henri IV, qui n’était que son troisième enfant et naquit le 13 décembre 1553.
  6. Var. de M.-L. : Fier Aquilon…
  7. Var. de M.-L. : Madame, je n’eusse pensé