Page:Rolland - L’Âme enchantée, tome 5.djvu/227

Cette page n’a pas encore été corrigée

« Assez ! »… Tu es libre. Je ne suis pas digne de toi. »

Annette fut touchée. Elle dit :

— « Je reste. Timon, tant pis pour toi ! Et tant pis pour tous les deux ! Il faudra donc que le frein ou les dents soient brisés. »

— « Pour la prochaine fois, tâche que ce soient les miennes ! »