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LA FIN DU VOYAGE

(« Pour le temps où tu m’as aimé, je te remercie, je souhaite qu’ailleurs ce soit mieux pour toi… »)


— Christophe ! dit Olivier.

Christophe le serra sur sa poitrine.

— Va, mon petit, lui dit-il, nous avons le bon lot.


Ils étaient assis tous les quatre, près de l’enfant qui dormait. Ils ne parlaient point. Et à qui leur eût demandé quelle était leur pensée, — le visage vêtu d’humilité, ils eussent répondu seulement :


Amour.



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