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la révolte

ils étaient contents. Elle ne les aimait pas. Ils étaient sans doute très intelligents et très savants ; mais ils n’étaient pas bons : elle se réjouissait que son Christophe ne les vît plus. Elle abondait dans son sens : qu’avait-il besoin d’eux ?

— Ils peuvent dire, écrire et penser de moi ce qu’ils voudront, disait Christophe : ils ne peuvent pas m’empêcher d’être moi-même. Leur art, leur pensée, que m’importe ? Je les nie !