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ANNÉE 1783.



AVERTISSEMENT.

En 1783, les Roland ne quittèrent pas Amiens, sauf deux voyages de l’inspecteur à Paris ; au premier se rapportent les lettres du 16 janvier au 5 février ; au second, les lettres du 19 au 31 août.

On verra, par les lettres à Bosc, que Roland fut sérieusement malade à la fin de février et en mars.

Nous n’avons, pour cette année-là, aucune lettre de lui à sa femme ; c’est un moyen de contre-épreuve qui nous manque. Les seuls points de repère que nous trouvions sont les lettres suivantes de Roland :

Pap. Rol., ms. 6243, fol. 134, un brouillon de lettre au libraire Moutard, du 25 janvier 1783, daté d’Amiens, bien que l’inspecteur fût alors à Paris ; mais ce n’est qu’un brouillon ;

Ibid., fol. 101, une lettre, datée d’Amiens, 25 février 1783, a MM. de l’Académie de Lyon, au sujet d’une polémique qu’il avait avec Brisson, son collègue, inspecteur des manufactures de la généralité de Lyon (cf. fol. 131-132, deux lettres de Roland, du 12 juillet 1782, sur le commencement de cette querelle) ;

Ibid., fol. 119-120, deux lettres de lui, datées d’Amiens, des 1er octobre et 14 décembre 1783, à son ancien ami l’abbé Auger (voir Appendice D), pour lui demander d’appuyer sa candidature au titre de membre correspondant de l’Académie des Inscriptions ;

Ibid., fol. 102, une lettre du 12 décembre 1783, à M. Maret, secrétaire perpétuel de l’Académie de Dijon, où il le remercie de son élection d’ « associé non résident » ;

5° Une lettre de lui à Bosc, du 1er avril 1783 (ms. 9532, fol. 155-156).