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uelqu’un, vêtu de soie blanche, s’avise qu’il
ne peut se réveiller ; car il est éveillé et
bouleversé de réalité. Ainsi, peureusement, il
s’enfuit dans le rêve et il est dans le parc, esseulé
dans le parc noir. Et la fête est loin. Et la lumière
ment. Et la nuit est tout contre lui, et fraîche. Et
il interroge une femme qui vers lui s’incline :
— Es-tu la nuit ?
Elle sourit.
Et voici qu’il a honte pour sa robe blanche.
Et il voudrait être loin et seul et en armes.
Tout en armes.