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du Chev. Grandisson

un secret que nous ignorons encore ; mais j’ose répondre, qu’avec son Malade, les apparitions & les Comédies ne réussiroient gueres.

Comme l’impatience générale est ici de voir bientôt l’heureux couple, accompagné d’Émilie & de M. Belcher, tout le monde vous supplie, ma chere Tante, & Clémentine avec les mêmes instances, quoique fort éloignée des vues de Sir Charles, dont il est même important qu’elle n’ait aucun soupçon, d’accorder quelque chose à l’empressement de tant d’illustres Amis, & de ne rien opposer au voyage des cheres personnes que nous attendons.