d’agir suivant l’occasion, & de consulter ma prudence, à laquelle elles me font la grace de se fier, mais d’éviter principalement toute affectation. Dans une si douce attente, chere Mylady, quelque chose me tient encore au cœur (& croyez-vous qu’il en puisse être autrement ?) du côté de la tendre & noble Clémentine.
LETTRE CII.
Miss Byron à la même.
À présent, mes très-cheres Dames, car il est inutile de répéter que je n’écris rien pour l’une, qui ne soit également pour l’autre ; je dois exposer à votre approbation ou votre censure, tout ce qui s’est passé entre le meilleur des hommes & votre Henriette : & je serai heureuse, si j’obtiens le suffrage de ses Sœurs.
Sir Charles est arrivé un peu avant midi. Nous l’avons tous félicité sur ce que nous avons appris de M. Fenwick. Il nous a dit qu’il étoit dans les meilleurs termes avec M. Greville.
Après s’être expliqué modestement sur cette affaire, il a baissé la voix pour s’adresser à ma Grand’Mere : J’espere, Madame, qu’il me sera permis de reprendre en votre