Page:Revue pour les français, T1, 1906.djvu/181

Cette page n’est pas destinée à être corrigée.

Si le J)octeur Schliemann avait pu continuer ses admirables investigations, il I eut découvert dans les ruines de croie des débris de bouteilles de Quinquina ( Dubonnet ï -€t, du même coup, le secret de la prise de cette ville se fut révélé. Ce n’est pas ) de guerriers qu’était bourré le fameux [t cheval de Zroie...£e piège était bien plus terrible ; c’était de Quinquina 2>ubonnet ! X’armée troyenne, affolée, s’arracha les flacons