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Je désirerais vivement recevoir mon calice. Si vous n’avez aucun moyen de me le faire parvenir autrement, je payerai volontiers les droits d’entrée en France, s’ils ne sont pas trop considérables. Dans le cas où vous réussiriez à le faire passer, veuillez l’adresser à M. E. Bore, rue de Vaugirard, n° 98, à Paris.

Si la comtesse Marie Potocka est encore à Genève, veuillez