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POÉSIE.
STANCES À M. ALFRED DE MUSSET.
J’ai lu ta vive Odyssée
Cadencée,
J’ai lu tes sonnets aussi,
Dieu merci !
Pour toi seul l’aimable muse
Qui t’amuse,
Réserve encor des chansons
Aux doux sons.
Par le faux goût exilée
Et voilée,
Elle va dans ton réduit
Chaque nuit.
Là, penchée à ton oreille,
Qui s’éveille,