L’Angleterre a de la porcelaine trop chère pour en faire une grande exportation ; mais la grande supériorité de ses diverses poteries lui en a procuré, en 1832, l’écoulement à l’étranger pour une somme de
L’art de la verrerie dans toutes ses branches et surtout l’art de couler les glaces se maintient en France à un rang élevé. Des glaces d’un volume remarquable ont paru à l’exposition de 1834. Les cristaux ont de la peine à atteindre la perfection dans la matière et surtout la taille des cristaux anglais.
L’exportation de 1832 s’est composée de
380,000 | fr. | glaces et miroirs de toutes grandeurs. |
60,000 | verres à lunettes. | |
568,000 | verrerie, cristaux. | |
2,400,000 | verrerie ordinaire. | |
30,000 | verroterie en masses, en grains et taillée. | |
3,638,000 | fr. |
L’exportation de la Grande-Bretagne en 1832 est de 10,050,000 fr. en verrerie ou verre sous toutes les formes.
La chapellerie à peine représentée à l’exposition de 1834 donne lieu à une exportation de 13 à 1,400,000 fr.
La Grande-Bretagne en exporte pour 3,600,000 fr.
Le papier est à meilleur marché en France qu’en Angleterre. En réunissant sous un même chapitre les articles qui s’y rattachent, nous trouvons l’exportation de 1832 se composer de
2,400,000 | fr. | en papier. |
500,000 | cartons et papiers d’enveloppe. | |
2,800,000 | livres imprimés. | |
46,000 | cartes géographiques. | |
1,698,000 | gravures et lithographies. | |
150,000 | musique. | |
175,000 | cartes à jouer. | |
7,769,000 | fr. |
Tous ces articles ont paru à l’exposition sans que d’aucun d’eux on