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Y^y %yy G.- SÊAILLES^ – :les ; PHILOSOPHIES DE :Ljt ;tlBÈRfÉ. ̃ U6» Y ; ;Y -x^ ̃<[. YiJ Co,n1séquents, règn~e -de la causalité intelligible, de 1a’liber’té,L’ari,ti~ ’omiees~Tësôlue~la, science se. constituê’~sous ridée de : nécessité, m porte que sllrl~sphé,iÜ)Jnènes,.elle~eno ?s ’apprEJn~rièl} ;t de~Tefre.’La loi morale, d’autre .part,’nous oblige d’agir sous l’idée de liberté, c’est tout ce que. par elle nous,savons,de. ~ositif~/mais la /"Faison~ spéculative laissant ië~noumene~ndétermmé~ il’ est raison-nâblé, il est moraJément’néeessaÍre de le définir selon les~xi~enees ; de là raison, pràtique-c,e -9 i -a-dire de <1ecQn ,cevoirl~InpIlcleilÍ~e~f¡gibl.é, le monde de,l’,êtrésoUslaloi’de la1ib~rté :

,’Le.détel’mini,srne e :5t,laèonditionde, la sefehcë,,Ia liberté est~la condition de là morale pour la première fois le problëme est yrai-’ment universalise, r nette__ment.opposée ti -pr d ment lll1iv,ersalisèfla ,lib,e rténeUemen~()pposée a xincipes- de

1’eritendement~t.a~lX,lois dü,~moride qui nous apparaît. Système

.bizarre’, adttSecrétan, oùplutô

`gde’ lâ cônsciëpce humaine,’le kantisme est formé de deux parties, i !hmeseJènee, quin’e,st’pasYraie,unecYérile’quin ;l3st’pas~ue ». La EQrmule’ëxprimë fortemènt’du moins 1’espèçe. de malaise que laisse ’Ia~.doctrine’ c ans .1l,esprit. ’L’attitude, de l~~ané est celled’unsige" ’mQdëste~unpeu~~imide, 9, qui crai,ilit la ,métaphysiq~e :~tos~s>~asèlrd.s’ .f ~< et.qui ;se,contente’<l’assureÍ’,Je :~a Yoir.et.l’tioriI3Ílen~éter~inant les- ;les~cohditions.~ Mais solutio’n>n :l3st"elle>pasJeprohlème,m~Ine :~Ùi~’ tohrmente r espr’ithll~ain ?DéterminisnieÚlihel’téi1es deux termes P.ùsque’jamais !S’opposent,ilsJ1eJont pas partie d ?unirlême.. >.s. ,.y.stèm(3’ d’idées ;il",sont vrais nl1n,et}’autre,eÓmme .àdesplàns,différei ;1ts ;; c’est c~nstatérLie/conQit~de.Ia pensée avë(~eU~

ee.n’estpas ;)erésoudrè. t,a" ,1ib~rté, nOllm~IÍa1e :satlsfait :eW3 ’cl~ -moins aux exigences de’Jà’ conscience morale dontqn1a fait soli- ~aire ?~’est’ dans le monde d,es’ phénomènes.ql1e. je vis, ’mes ;:actes~ sont’ des phénomènes ; or.c’est de mes actes que je voudrais e~ maîtreèi.lepèrè, :etÍw~ ,de ce caractère intelligible ; int¡JÍupQrel, ’quel ,t~i~I1&e,~et’qui les détermine. La.~ liberté dont j’ai besoin est une , ?. liberté de tous les jours, de-, toutes’les heures, qui puisse ce qu,on iLu interdit "’s~,soustr~ire’au’dél~rininisIl1.e"pos ;er’dans le. temps f~’ des âctes.que~eurs~antéeédënts~ne : suffisent pas à expliquer. Pôur t, é,cha PPf :1r,à’ces" dÍffi0ul t~s ;IesÓon ti~uateurs’,de.J(ant, ceux dq moins J. qui ; dans so~œuvre, s’attàchant~a~Ia critiqué dé. la’Tâispnp seront surtout préoccupés’dn devoir éLde’.la}iberté, .seJ. ;ontàWi3l1és’ à)ql1erc~er’Ile’~o~cili9-Fon d~’s.. deu/ çrit~quBs~nlintr(jd :uisài :lt :1~ lâ cqntiÎ1g~nce dansJew’oJ).Çlelllême’des pl1érÍomênès’t ,ep>cÓord9,n-"