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L. couturat. – Sur l’hypothèse des atomes. 113 actions’ an cor» ta r» !1 P.’pof rl/^nr* Kînr» oî l’/w» vnnt un ï-.rtr.« An «~ï«,. "̃ ’̃̃ A "ï^v/ Meta. T. X- – ,189^ ,= ’j’ ’̃ ’l " ;̃̃"̃̃’̃̃̃ ̃ ’̃’• -~< : 8’ ̃ ’’̃ .•>’ •̃ ̃,̃̃̃̃"̃• ̃̃’ *̃ •̃̃’̃̃̃̃•̃̃ :̃̃-̃ ] ̃̃ ’li’ ̃-•̃ r actions’ au contact1. C’est donc Lien, si l’on veut, un besoin de notre nature humaine, en tant que sensible, mais ce n’est à aucun degré une exigence de notre esprit ni une condition de la connaissance scientifique. C’est un cas pârticulier. :de la nécessité que nous cprouvont d’illustrer nos idées par. des images ou dé traduire nos con- ( cepts par des schèmes ; c’est même ce qui explique l’analogie et f l’affinitéde l’atome avec le nombre, dont la nécessité rationnelle et objective n’est pas mieux fondée. En un mot, l’atome n’est qu’une image commode, et non pas un concept nécessaire. (A suivre.) J. ? r

Louis Goutorat..

. Principes métaphysiques de la Science et de la Nature, chap.ir, théorème V, V, seolie.