Or, d’une part, les dérivées des fonctions d’utilité effective par rapport aux quantités fabriquées de chacun des capitaux neufs, qui sont aussi les dérivées de ces fonctions par rapport aux quantités consommées de chacun des profits, ne sont autre chose que les raretés qui sont directement proportionnelles au prix des profits suivant les équations
Et, d’autre part, au point de vue du problème qui nous occupe à
présent de la distribution par une société d’un certain excédent du
revenu sur la consommation entre les diverses variétés de capitalisation, les différentielles des quantités fabriquées des divers capitaux sont inversement proportionnelles aux prix de ces capitaux suivant les équations
On peut donc remplacer le système ci-dessus par le suivant :
lequel exprimerait également la condition du maximum d’utilité
effective des capitaux neufs pour les échangeurs (2), (3)…
Cette démonstration ne dit rien de la durée de la jouissance du service et n’a besoin d’en rien dire. Selon que cette durée sera d’un an, d’un mois ou d’un jour, le rapport sera le taux du revenu brut annuel, mensuel ou quotidien. Nous avons toujours supposé jusqu’ici qu’il s’agissait du taux annuel.
Elle ne tient pas compte non plus de l’amortissement et de l’assurance des capitaux ; autrement dit , elle suppose que cet amortissement et cette assurance sont faits bénévolement par les propriétaires des capitaux à leurs frais, et que les prix ne paient que i vice proprement dit. Si on voulait introduire à présent la condition que l’amortissement et l’assurance des capitaux fussent faits par les consommateurs des services, il faudrait décomposer les prix en deux parties dont les unes, paieraient l’amortissement et l’assurance des capitaux et dont les autres,
