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Le confrère paraît désolé. Il s’excuse, se gratte « son » nez et dit à Éloi :

— Nous pouvons nous arranger.

Et se reculant, il lui lance de toute sa vigueur un coup de poing sur le nez. Éloi y porte la main, et tandis qu’il tâte les débris sanglants, son confrère ajoute, doux et poli :

— Désormais, Monsieur J’espère qu’on ne les confondra plus.

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