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tends bouger l’héritier. La taure-mère, la respiration anhéleuse, penche sa tête.
— Elle n’est pas fière, dit Pajol.
— Elle sait bien qu’elle a mal fait, dis-je.
Nous l’observons ainsi qu’une coupable. Grisés de parfums lourds, nous jugeons gravement les taures, selon les règles d’une conduite spéciale aux bêtes, et le taureau, selon les droits de l’homme.
— Celle-ci est plus avancée que les autres, dit Pajol. Elle ne tardera pas de pousser sa bouteille.
Il lui soulève la queue, palpe ses reins.
— Sale bête ! s’écrie-t-il.
Et, s’abandonnant à une juste colère, il se recule, prend son élan et flanque un bon coup de pied au derrière de la taure, comme si c’était sa propre fille.