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— À la porte de Seringham. Cela nous donnera l’occasion de la visiter ; c’est, dit-on, l’un des plus extraordinaires temples de l’Inde. Quant au Malabar je m’en soucie comme d’un piment, et je ne me sens pas de composition à partager rien avec lui, surtout cette ravissante Indienne.

Jusqu’à l’hôtel, mon amoureux commandant m’entretint de la bayadère ; je n’échappai à son enthousiasme qu’en lui fermant au nez la porte de ma chambre et en lui criant :

— Eh bien ! soit ! à demain, à la grande pagode.