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CHAPITRE TROISIÈME

le mariage fut décidé, lui disant qu’il lui devrait son bonheur et qu’il chercherait à faire celui de sa famille. Deux jours après l’arrivée de Marie-Louise à Compiègne, il écrivit à l’impératrice d’Autriche, lui faisant force compliments et lui disant qu’elle avait tellement conquis le cœur des Français, se trouvant à Vienne, qu’il en était jaloux. Il se félicitait de son mariage : « Nous nous convenons tous deux à merveille, » disait-il.