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I o*t tùAil’at epittoikU ttfiotonbm rjh-I setrndum censutrimus. Iriumo mu#a I rtseetûmiu ; tucetietu otnnks «*/ monatticam disciplinam tpectaities mêcmon décrétâtes tummokam Pon-Hfiaum, et qum de privatoVum nego- ..tiù hominum agunt, litenu pltrummtte antanètttvimus tSï nthàlominus

  • XU/berat epiitoUtrum segn quam

collegimut, ec laus est stadiosorum hominum steculi xii qftib^tâ curm fuit ejusmodi cotetaneorum suorum favia folia râcolligere et ad jtosteros tr€uumittere/ Quod fi prmmtisient priorum et substquentium .mctdorum hommes, quantum exinde historica res incremcntum suscepixset, nemo non vide t. Veritm <nec ante sasculum xii, nec poste*, tanlus oocurrit eputnlarum proventus, etti certum iit mulu piurrt,’ et’vatn iUitu tevi, epistolat excidisse, qtiàm que ad nos pervencrc. Et trii txumqu’ui parcd manu d+itharc /tu rrat literas Romanorum Po)ui/ifitm,s quorum* auctoritate publia» negotia strru/o duodecimo potissimùtn agebantur ? quorum regrsta dépend ta, sublectu ex multu iH)luminil>u, in quibus dclitescrhant, eorutn r/nstults. salteni quoail rcs Francicns, utctimque resartienda erant. An non eptstolarum Jvonis Cnrnotensis episvopi, historia sut temporix mirijicc Uliutrantium ma.r* niant .u/>i partent vindicahatlcollcctio nostru ? An non Lamberiti AtreImtensis, llilticbcrti i Cenomanensis, Stephani Parisiensis episcoborum Gqf/ridi abl>alis f’indocineiisAsf Sugeriï quonilam proregis, Bernardi ClarevaUrnsii abbatis ceUbratisrimL, | Pétri <y<~< <<’r<~<7M ~7tt)Mat~tt~,tia abbati.x~ quorum ln <M<uftntM rei pub l te se negotiis consiiia expetet bant Reges et Principes, ac pcmrftn-tiam suspicûrbant P S*dy dket aliquù, vulgata jam erant viroriun iUorum scripta. Id quidem, si paitcas exeipias literas à a ̃̃•̃’̃•’̃̃- ̃’̃" v ̃̃ ̃ Ce |w ; pM ^pe nous hayons ùùt <te ’gnôjid’ retnuntehiepaens à 1109 épteto-Uiccs. Noue armas retranché presque tantes’ ïes^ lettres qui ne traitent que d’affaires inMastiques, les décrétales des • Papes, parement décrétâtes, ou qui ne roulent que sur des prooès entre particuliers. Si, malgré cela, le nombre des teMM<r~j[Se 00<M 1tYons recueilliffs lettrea^ûle poas Vroas recueillies parolt considérable, c’est qu’il^est trouvé, au xn.* siècle, des savans qui ont pris soin de nous conserver ces feuilles volantes, trop sujettes à s’égarer. Il seroit à désirer que les stvtns des siècles antérieurs et ceux des siècles postérieurs au xn,* siècle eussent euv la même attention l’histoire y auroit beaucoup gagné. v Mais c’est la première fois que nous mou trouvons surchargés pet une trop grande abondance de- richesses, quoiqud toit d’ailleurs certain qu’à cette jépoque même il s’est perdu plus de monumehs de ce genre qu’il n’en a été conservé. Pouvions-nous en effet passer légèrement sur les lettre^ des Papes du xn siècle, qui eurent tant de part aux affaires publiques, et dont les registres sont perdus ? nous avons, en quelque sorte, rétabli ces registres, au moins en ce qui concerne la France, en réunissant leurs rescrits épars dans une multitude de volumes. Pouvions-nous retrancher la très-grande partie des lettres d’Ives de Chartres, si intéressantes pour l’histoire de Frai^ce de celles de l-inilxrt évêque d’Arns ; d’Hildeliert éiéque du Mans, et ensuite aftSlevèque de Tours ; de Geoffroi abbé de Vendôme d’Ktienue évèque de Paris ; de’ l’abbé Suger, qui fut régent du royaume j i de S. Bernard, l’oracle de son temps ; de Picrre-le- Vénérable, abbé de Quni, qui étoient consultés dans les affaires de la plus hautr importance, et dont les avis étoient reçus avec. déférence .par tout ce qu’il y avoit de plus grand ? Mais œs lettres, dira-t-on étoient déjà connues par l’impression. Il est vrai qu’à l’exception d’un peut nomhre