avaient également agréé sa promesse de dévouement éternel et d’obéissance : enfin, il s’était engagé envers le monde entier à la franchise, à la justice, à la magnanimité et surtout à la défense des faibles, des orphelins et des femmes. Une belle devise, des couleurs symboliques devaient lui rappeler ses devoirs à toujours.
Cl. Valentine.
En effet, l’histoire nous dit qu’il y eut de nobles chevaliers « sans peur et sans reproche », des solitaires qui prirent au sérieux les beaux serments qu’ils avaient faits, restant fidèles à leur devise et à leur dame, des « chevaliers errants » qui parcouraient les campagnes à la recherche de torts à redresser, de malheureux à défendre ; mais ces héros de justice, déjà ridicules aux yeux de leurs contemporains, n’ont-ils pas été immortalisés plus tard sous le nom de « Chevaliers à la Triste Figure » ? La plupart des paladins, entraînés par la violence