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ÉPISTRE.
la teſte de cet Ouurage. Et de quel autre nom pourrois-ie eſbloüir les yeux de mes Lecteurs, que de celuy dont mes Spectateurs ont eſté ſi heureuſement eſbloüis ? On ſçauoit que VOSTRE ALTESSE ROYALE auoit daigné prendre ſoin de la conduite de ma Tragedie. On ſçauoit que vous m’auiez preſté quelques-unes de vos lumieres, pour y adjoûter de nouueaux ornemens. On ſçauoit enfin que vous l’auiez honnorée de quelques larmes, dés la premiere lecture que ie vous en fis. Pardonnez-moy, MADAME, ſi i’oſe me