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ii4. BÉRÉNICE.

Un rival plus puissant voulût tenter ma foi,

Et pût mettre à mes pieds plus d'empires que toi ;

T^ue de sceptres sans nombre il pût paver ma flamme,

Que ton amour n'eût rien à donner que ton ame !

C'est alors, cher Titus, qu'aimé, victorieux,

Tu verrois de quel prix ton cœur est à mes yeux.

Allons, Phénice, un mot pourra le satisfaire.

Rassurons-nous, mon cœur, je puis encor lui plaire;

Je me comptois trop tôt au rang des malheureux r

Si Titus est jaloux, Titus est amoureux.

��TIN DU SECOND ACTP.

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