Page:Rabier - Tintin-Lutin, 1898.djvu/75

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Épilogue

Cette histoire vous prouve, cher enfant,
Que lorsqu’on s’adonne au vilain penchant
De s’amuser aux dépens du prochain,
Tôt ou tard, l’on finit comme Tintin,
Par être puni. L’on découvre ensuite
Que le travail et la bonne conduite
Procurent seuls un bonheur vraiment pur.
Vous ne l’oublierez pas, j’en suis sûr.


FIN



— 71 —