yUART LIVRE, T. II, P. 415-425. 293
(XXXVI, 8) que LucuUus donna son nom à un marbre de l’île de Milo qu’il introduisit le premier à Rome.
L. 18 : Pourceau Minerue enfeignant. Dans le pas- sage grec enseignant est sous-entendu.
Page 417, 1. 16 : Rue pauee d’Andoullles. Ancien nom de la rue Pavée (Saint André des Arcs] jusqu’en 1676. Voyez Paris sous Philippe Auguste^ p. 325’.
Page 419, 1. 4 : Par Vejloille PouJJiniere. « Il jure par l’étoile poussinière, ou la constellation des Pléiades, sans doute parce que le lever de cette constellation passait chez les anciens pour exciter les vents et les tempêtes. » (Éloi Johanneau)
L. 24 : Le vent de la chemife.Y oj^z ci-dessus, p. 135, note sur la 1. 13 de la p. 146.
Page 421, 1. dernière : Sonnet. « le n’y eus efté longuement, que la bonne perfonne ne delafchaft vn gros pet de ménage, FroiiTart diroit, defcliquaft vne dondaine, & les atïéttees, vn fonnet. » (Du Fail, t. 11,
p. 99)
Page 422, 1. 13 : Rien n’efl beat de toutes parts.
. . . Nihil est ab omni Parte beatum.
(Horace, Odes, ii, i6, v. 27)
L. 15 : Ai/es comme peres.Woyez ci-dessus, p. 284, note sur la 1. 17 de la p. 356.
Page 424, 1. dernière : Par l’ordonnance des Médi- ans. Voyez ci-dessus, p. 278, note sur la 1. 17 de la
P- 334-
Page 425, 1. i : L’ijle des Papefigues. La Fontaine a imité ce chapitre et les deux suivants dans son Diable de Papefiguière.
L. 15 : Luy feijî la figue.
Firent la figue au portrait du faint Père.
(La Fontaine)
L. 24 : ladis vfa enuers les Milanais. Voyez Albert