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CHAPITRE XX.

Du : Ah ! comme elle fut foutue !

Dès que madame Poilsoyeux, qui affectait une ivresse aimable, parut dans l’état où Montencon la désirait, je la saisis, la première fois qu’elle se leva, par la taille d’une main, et de l’autre je lui pris le con (outre que je désirais vivement sa possession, je la voulais enhardir et préparer son bijou à l’admission d’un plus gros membre que le mien). Je la renversai en demandant un morceau de beurre frais qui restait sur la table ; je lui en mis gros comme une noix à l’orifice, et je poussai… « Laissez, laissez-moi donc », me disait-elle doucement ; cependant elle remuait admirablement de la charnière et le foutoir craquait sous nous ; je déchargeai en me récriant de plaisir… « À toi, bougre !… »

Montencon debout, son gros vit bandant à la main, nous admirait ; j’eus à peine déconné qu’il se précipita sur ma fille, dont le conin oscillait encore, et doublement favorisé par mon foutre et le beurre frais, il pénétra… Conquette fit un cri… je m’avançai alarmé, mais elle me sourit aussitôt « Enfonces-tu ? dis-je au fouteur. — Oui, sacre-bleu, et avec délices !… Elle me pince le vit ; mais quel conin… c’est un satin… ah !… ah !… ah ! je fous !… Remue du cul, céleste houri, remue, divine bougresse… con délicieux !… remue sous moi… saccade… je… pa…ars… je…, dé… char…ge !… ah !… ah !… » Le grisonnant se pâma sur les tétons de ma fille, qui elle-même nageait dans le foutre et la volupté ! J’avais craint qu’elle ne remuât