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les lui rendant : Votre femme a plus d’esprit que son père. La Rivière brûla dans la suite ces lettres, a qui étaient toutes de feu, » écrivait-il au rédacteur de la Bibliothèque des auteurs de Bourgogne, craignant que leur impression ne fût un présent dangereux pour la postérité, parce qu’elles étaient propres à inspirer des passions. On a de cette dame, qui mourut à Paris, en 1716 : Abrégé de la Vie de saint François de Sales, Paris, 1699, in-12 ; Vie en abrégé de madame de Chantal.

BUSSY (Louise-Philippine de), née à Paris, en 1719, s’est fait connaître par un ouvrage singulier et original, intitulé : la Méprise du mort qui se croit vivant, ou le Mort qui cherche, la vie.

BYGOIS, vierge de l’antique Etrurie, avait, dit-on, écrit sur la foudre un Traité que les aruspices consul taient souvent pour leurs divinations.

BYNS (Anne), religieuse et maîtresse d’école à Anvers, se distingua parmi ceux qui, dans l’enfance de l’art, cultivèrent les muses flamandes ou hollandaises. Elle écrivit entre les années 1520 et 1540. Deux livres de ses Refrains (Tefereinen), et non seize (’comme Foppéus l’a avancé par erreur, partie 1, pag. 63), parurent en 1529. Eligius Eucharius ou Houcharius les traduisit en vers.

FIN DU PREMIER VOLUME.


ERRATUM.

Page 317, ligne 31°, Tient dans la ville de Bade, lises : tient dans la ville de Manheim.